Si la ville de Guingamp connaît une baisse démographique depuis 30 ans, l’agglomération connaît une évolution inverse, mais une progression très limitée de l’emploi. Depuis plusieurs années, des actions de reconquête du bâti au sein des centralités (OPAH, OPAH-RU, OPAH-copropriétés…) ont ainsi été entreprises. Le projet de revitalisation mené aujourd’hui permet de dépasser le seul levier de l’habitat et d’envisager des actions complémentaires pour ce dernier.

« Ville d’art et d’histoire », La Réole a souhaité structurer son projet de revitalisa ! on en
prenant appui sur la valorisa ! on de son patrimoine et en eff ectuant un travail de média-
 ! on avec la popula ! on avec pour objec ! f de changer son image aux yeux de ses habitants.
Ce# e volonté d’appropria ! on du centre ancien passe aussi par une recomposi ! on des
fonc ! onnalités urbaines, par une mise en connexion des polarités qui le cons ! tuent ainsi
que par une ac ! on partenariale forte en faveur notamment de l’améliora ! on de l’habitat.
Il s’agit également d’opéra ! ons exemplaires tel que le projet d’habitat par ! cipa ! f.

La démarche de revitalisation se structure selon quatre axes d’actions : renforcer l’attractivité du coeur de bourg par l’amélioration du cadre de vie, structurer l’offre de service à la population, diversifier les dispositifs qui permettront d’améliorer la qualité de l’habitat et dynamiser l’économie et le commerce de proximité en centre-bourg. Le projet va générer vingt-deux millions d’euros sur six ans.

Porte d’entrée du département du Gard, Pont-Saint-Esprit est un carrefour de la vallée du Rhône, qui connaît aujourd’hui un renouveau démographique. Le projet de revitalisation s’appuie sur trois grands volets, il vise à l’amélioration de l’habitat constituant un enjeu majeur pour la ville, ainsi qu’à l’aménagement de projets structurants, porteurs d’attractivité, et la revalorisation du patrimoine naturel et bâti.

La revitalisation s’inscrit dans le projet de développement territorial du Pays de Serres en Quercy. Ses axes stratégiques sont le traitement de l’habitat, la valorisation du patrimoine, le développement économique et touristique et les fonctionnalités urbaines. Ils répondent à des objectifs de progrès sur le plan social, économique, culturel et environnemental.

La commune de Lodève met en oeuvre depuis plusieurs années une démarche de revitalisation de son centre-bourg incluant des interventions sur les espaces publics et le réinvestissement de bâtiments patrimoniaux vacants pour accueillir des équipements publics, ceci afin de changer l’image de la ville et amorcer sa restructuration urbaine et économique.

Une dynamique de renouvellement urbain est engagée depuis les années 2000.
La réalisa on d’une étude pré-opéra onnelle pour une OPAH-RU engagée en
2014 a mis en évidence un certain nombre d’enjeux. La collec vité souhaite y
répondre par un projet de ville complet qui marie les dimensions économique,
urbaine, sociale, patrimoniale, touris que et environnementale.

La ville de Saint-Pierre exerce un rôle de centralité sur la micro-région Nord-Caraïbe, sur les plans administratifs, commerciaux, économiques et touristiques. Cependant, elle souffre d’une fort perte d’attractivité résidentielle et économique en raison de plusieurs facteurs. Pour revitaliser son centre-bourg, la commune de Saint-Pierre s’appuie sur un projet articulant des actions sur l’habitat, la mobilité et le développement économique

La démarche engagée au titre du programme a abouti à un projet de revitalisation du centre-bourg et de développement du territoire. Le volet patrimonial y est développé aux deux échelles de l’intercommunalité et de la commune, le bourg médiéval de Largentière composant au sein du territoire du Val de Ligne un ensemble architectural, urbain et paysager remarquable mais peu valorisé.